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Angel Yalachkov est né en 2005 à Sofia, en Bulgarie. En 2023, il est diplômé de l’École nationale de musique "Lyubomir Pipkov" dans la classe de piano du prof. Alexander Vassilenko. Actuellement, il est étudiant en première année à l’Académie nationale de musique "Prof. Pancho Vladigerov" dans la classe de piano du prof. Borislava Taneva.
Il a remporté plus de 40 prix de concours internationaux de piano en Bulgarie, Singapour, Russie, Italie, Belgique, Allemagne, Finlande, Roumanie, Slovaquie, Croatie, Grèce, Serbie, Macédoine, dont des Grand Prix, 20 premiers prix et 15 prix spéciaux.
Il est boursier : du Ministère de la Culture dans le cadre du programme "Protection des enfants aux talents exceptionnels", de la Fondation américaine pour la Bulgarie, de la Fondation internationale de "St. St. Cyrille et Méthode" et du Fonds national de la Culture - Prix pour les réalisations dans les arts et la culture.
Angel Yalachkov a remporté en 2023 le Grand Prix du concours "Poètes du piano" et est devenu le lauréat de la bourse "Ventsislav Yankoff".
Il s’est produit dans des festivals en Bulgarie et à l’étranger. Il a également été soliste de l’Orchestre symphonique académique de l’Académie nationale de musique "Prof. Pancho Vladigerov », de l’Orchestre de chambre "Haskovo" et de l’Orchestre de chambre "Orphée". Il a participé, à plusieurs reprises, à des master classes de célèbres pianistes et professeurs bulgares et étrangers.
Percussionniste spécialiste du marimba, Vassilena Serafimova est née en 1985 à Pleven en Bulgarie, où elle grandit dans une famille de musiciens. Dès son enfance, Vassilena joue au sein de l’ensemble de percussion Accent formé par ses parents. Elle acquiert ainsi très tôt le goût de la scène. En 2005, elle poursuit ses études en France, d’abord au Conservatoire à rayonnement régional de Versailles puis au Conservatoire national de musique de Paris (CNSM), avant d’intégrer la Juilliard School de New York. À partir de 2003, elle obtient de nombreux prix dans des concours internationaux, ce qui lui permet de développer sa carrière à l’échelle mondiale. Très engagée dans la diffusion du marimba, elle forme le duo Funambules avec le pianiste Thomas Enhco depuis 2009.
Thomas Enhco est né en 1988 à Paris. Il grandit dans une famille de musiciens : sa mère Catherine Casadesus est chanteuse lyrique, son grand-père Jean-Claude Casadesus est chef d’orchestre, son beau-père Didier Lockwood était violoniste de jazz. Thomas commence le violon à l’âge de 3 ans puis se dirige vers le piano. À 12 ans, il intègre le Centre des musiques Didier Lockwood où il acquiert une solide formation jazz aux côtés de musiciens tels que Mike Stern ou Biréli Lagrène. À 14 ans, il poursuit sa formation de pianiste auprès de Gisèle Magnan, puis entre au CNSM de Paris dans la classe de jazz en 2005. Investi dans ses tournées internationales, notamment avec Didier Lockwood, il ne pourra pas terminer ses études au CNSM dont il finira par être exclu. Il poursuit une double carrière de pianiste jazz et classique et collabore avec de nombreux chefs d’orchestre. En 2018, il interprète à la Philharmonie de Paris son Concerto pour piano et orchestre avec l’orchestre de Cannes dirigé par Benjamin Lévy. Outre le duo qu’il forme avec Vassilena Serafimova, Thomas Enhco se produit avec son trio de jazz ou en solo.
Gaspard THOMAS est diplômé d’un Master de Piano au CNSMDP mention Très Bien à l’unanimité dans la classe de Claire DÉSERT
Né en 1997, Gaspard THOMAS a remporté de nombreuses récompenses lors de concours internationaux, en particulier au Concours Szymanowski de Katowice en Pologne en septembre 2023 où il obtient le Troisième Prix et deux prix spéciaux. Il remporte également un Premier Prix au concours France-Amériques 2019 ainsi qu’un Second prix et 7 prix spéciaux au concours Piano Campus 2019 à Pontoise. Il est par ailleurs lauréat de l’Académie Musicale Philippe Jaroussky, de l’Académie de Villecroze, des fondations Banque Populaire et Safran ainsi qu’artiste en résidence à la Fondation Singer-Polignac depuis 2021.
Comme la musique voyage, et dans ses traversées, se change, reconnaissable pourtant par la mélodie, l’harmonie ou même seulement l’esprit. La musique de Jean-Sébastien Bach a ce genre de pouvoir : dans l’espace, et dans le temps. Bien au-delà de l’âge baroque, religieux, qui l’a vue naître, loin du clavecin, des chorals ou de l’orgue pour lesquels elle fut composée, elle se laisse réinventer. Des Variations Goldberg interprétées au piano par Glenn Gould (1955) au Switched On Bach de Wendy Carlos (1968) enchaînant préludes, fugues et cantates au synthétiseur Moog, d’innombrables musiciens et musiciennes ont fait de Bach un compagnon de leur pratique mais aussi de leur écriture. Joué par des sensibilités différentes, dans des mondes sonores nouveaux, transposé à d’autres instruments, son répertoire monumental s’est frayé une voie dans la musique du XXe siècle, savante mais aussi populaire.
Dans notre XXIe siècle bien entamé, elle inspire encore les créations les plus actuelles : Bach Mirror, le second album de Vassilena Serafimova et de Thomas Enhco, suite de treize éclats tous inspirés de la musique du compositeur d’Allemagne centrale, en donne une nouvelle preuve miroitante.
Elle est née en Bulgarie en 1985, remarquable percussionniste et joueuse de marimba, il est né en France trois ans plus tard, pianiste de jazz en quête de liberté. Chacun est plongé dans la musique dès l’enfance, né de parents musiciens (percussionnistes et arrangeurs pour elle, musiciens classiques pour lui, avant que sa mère n’épouse le violoniste de jazz Didier Lockwood). Chacun expérimente la musique dans ses grandes largeurs : savante et populaire, écrite et improvisée. Chacun commence par le violon et puis trouve sa voie instrumentale : pour lui, le piano, pour elle le marimba. Elle voyage, perfectionne sa technique de plus en plus remarquée — elle remporte, entre autres nombreux prix de festivals parmi les plus prestigieux d’Europe, comme ceux de Munich ou Stuttgart—, et repérée, s’installe en France. Lui grandit à l’écoute de grands musiciens de jazz, plongé tout petit dans la fumée et l’intensité des clubs, sort son premier album à l'âge de 16 ans et entame rapidement une carrière internationale. Deux enfants de la musique donc, deux prodiges voyageurs, à la fois interprètes et compositeurs, qui devaient se rencontrer un jour de 2009, réunis sur un programme pour un Concert de Poche, et ne plus se quitter. Le duo s’éprouve d’abord à la scène et dans l’énergie des créations live, où virtuosité rime avec générosité, ravissant le public à travers le monde. En 2016, paraît un premier album, Funambules (chez Deutsche Grammophon). Mozart et Saint-Saëns revisités y côtoient leurs compositions originales. Sur un fil, ils réconcilient les siècles musicaux, le savant et le populaire, la fidélité et l’invention. Leur duo fait le tour du monde et remporte en 2017 le Deuxième Grand Prix au Osaka International Chamber Music Competition au Japon.
Trois ans plus tard, Bach Mirror renforce encore l’alchimie du pianiste et de la marimbiste.
C’est la musique de Jean-Sébastien Bach cette fois, qui est au coeur de l’inspiration. Omniprésente, obsessionnelle, elle est pourtant abordée avec une liberté totale, dans chacun de ces treize morceaux, qui sont autant de jeux de miroir avec les compositions originales : reflets éclatés, inversés, troubles ou démultipliés. Dans « Avalanche », sur laquelle s’ouvre le disque, on reconnaît l’inspiration du Prélude n°2 du livre 1 du Clavier bien tempéré mais comme démultipliée, sur un rythme à sept temps, l’art de la fugue rencontrant la musique répétitive, le contrepoint rencontrant les jeux d’écho. « Cantata » naît de la douce aria « Sheep may safely gaze », mais elle s’éloigne et se rapproche, moins enfantine, moins familière, dans un miroitement nouveau. La Suite pour violoncelle seul n°4 en mi bémol majeur, qui a inspiré « Silence », n’est pas seulement transposée au piano : elle est passée dans un tout autre monde, qui connaît Satie et Debussy, l’art des soupirs et les jeux d’eaux. D’un motif, d’une harmonie, d’une humeur, Enhco et Serafimova tirent des créations nouvelles. Fire Dance emprunte à un choral de Jesu, Joy of Man’s desiring mais pour inventer une danse joyeuse, à cinq temps, où ritournelle obstinée et variations jazz se côtoient avec le plus grand naturel. Car pour ces musiciens polyvalents férus de percussions et de syncopes, la musique de Jean-Sébastien Bach n’est pas que contrepoints et architecture, c’est un souffle rythmique : Bach Mirror, de bout en bout, est porté par des tempi allègres, virtuoses et vivifiants. « Avalanche » est un véritable galop d’ouverture pour marimba et piano ; « Sur la route » va andante, « Chaconne », tourbillonne : à la moindre occasion, le son à la fois rond, chaud et pourtant si clair des baguettes de Vassilena Serafimova, danse littéralement avec le piano cristallin et volubile de Thomas Enhco. Comme on peint des miniatures — chaque titre est assez bref, seuls deux d’entre eux excèdent les 5 minutes —, les musiciens donnent vie, légers et précis, à des motifs clairs qui se complexifient sans jamais devenir abscons, dans une pulsation quasi fractale. « Vortex », probablement un des morceaux les plus spectaculaires du disque, titre dont la composition est signée par les deux artistes, pousse cette logique jusqu’à son climax : les notes de piano devenu percussion ponctuent l’ascension virevoltante du marimba qui joue de ses timbres les plus sourds jusqu’aux plus métalliques. Surgissent des escaliers de notes formant spirales et colimaçons de plus en plus psychédéliques, sans qu’aucun effet d’écho pourtant n’ait été ajouté au son des instruments. Même si la captation sensible aux basses souvent « oubliées » des enregistrements classiques, étend ici le registre, et donne à ce « Vortex » toute sa profondeur. Nous voilà dans une autre dimension, celle où elles se rencontrent toutes : les
claps discrets évoquent le folklore, le piano de Thomas Enhco la suite d’accords d’A Love Supreme. Quand tout s’arrête, presque par surprise, on reste suspendu, un peu étourdi au bord d’un abîme, loin, très loin du simple hommage : le jeu et le plaisir ont gagné.
C’est que Thomas Enhco et Vassilena Serafimova jouent comme des enfants. Leur Bach Mirror fait miroiter la musique de Bach comme on joue à sauter dans les flaques : pour le plaisir de regarder, dans les reflets, les nuages et le ciel qui changent. Ils jouent comme des enfants virtuoses bien sûr, savants donnant presque l'illusion de l'insouciance, mais quoique rigoureux, libres, quoique mettant parfois les larmes aux yeux, joyeux. Au beau milieu de ces réflections ludiques, « Jesu, Joy of Man’s desiring » est interprété tel qu’en lui-même : dans ces éclats contemporains d’une musique ancienne, la joie, pour sûr, demeure.
Nommée dernièrement dans la catégorie Révélations Solistes instrumentales aux Victoires de la Musique, Nour Ayadi est rayonnante et d’une simplicité remarquable.
Elle porte son talent de musicienne vers les sommets.
Elle est diplômée d’un Master à l’unanimité du jury ainsi que d’un doctorat d’Artiste interprète au CNSM de Paris. Après avoir obtenu son Master soliste à la haute Ecole de Musique de Genève, elle est actuellement Artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth. Titulaire de nombreux Prix, elle est sollicitée par de nombreux festivals et orchestres. Ses deux premiers CD font l’unanimité.
Elle est pourtant titulaire d’un Master en Politiques Publiques à Sciences Po Paris !
A découvrir absolument !
Samuel Bismut est un pianiste étudiant actuellement au conservatoire de Paris dans la classe de perfectionnement de Denis Pascal et en masterclasses auprès de Lilya Zilberstein, Avedis Kouyoumdjian et Michel Beroff.
Régulièrement amené à défendre dans les salles de concert son répertoire de prédilection, il se consacre tout particulièrement à la musique de Mozart, Schubert, Chopin, ainsi qu'au répertoire pianistique français du 20e. Pour le piano Ravélien, “le jeune pianiste aassurément des choses à dire dans ce répertoire où son jeu ciselé est au service d’une personnalité affirmée” (Hugues Rameau-Cray, Classique c’est Cool). Tandis que l’on remarquera chez Debussy “l’élégance du jeu de l’artiste" et “la limpidité du jeu et des couleurs” (Steve Boscardin dans Res Musica).
On a pu notamment l’entendre dans les festivals de Saint-Yrieix, aux Nancyphonies, au festival Salon de Provence, au festival Baroque de Pontoise, au festival du Haut Limousin aux musicales de Normandie, à “Piano en Saintonge”, aux Harmonies du Perche et au festival international de musique de chambre "Tons Voisins" à Albi. Il forme par ailleurs un duo de piano avec son camarade de promotion Tom Carré. Tous deux Schubertiens et passionnés de piano français, ils ouvrent la saison 2023 du festival “Pianissimes” et participent ensemble au festival “Piano en Seine”.
Samuel Bismut est passé par l’Académie Ravel dont il sort lauréat en 2021, il est aussi soutenu par l’Académie de Villecroze. Remarqué pour son interprétation de la sonate en do mineur D958 de Schubert durant la demi-finale de l’Internationaler SchubertWettbewerb 2021, il est lauréat de plusieurs concours internationaux comme le concours Piano Campus ou le prestigieux concoursPremio Jaén, où il est récompensé pour son investissement dans le répertoire espagnol, et en particulier dans le grand cycle d'IsaacAlbéniz "Iberia".
Il est également nommé aux révélations classiques « Talents Adami 2022 ».
Antonia Sayako Noda Fuglsang a commencé son parcours musical à l'âge de cinq ans. Sous la direction d'Elisabeth La Cour et plus tard de Jette Jokumsen, elle a peaufiné son talent musical.
Depuis 2020, la jeune fille de 17 ans suit l'enseignement du professeur Mo Yi au "Det Jyske Musikkonservatorium" d'Aarhus, où elle a également commencé ses études de bachelor à l'automne 2022. Son parcours musical a déjà conduit Antonia Fuglsang à des masterclasses internationales, dont les Austrian Masterclasses ainsi que des cours à Munich et en Italie. Elle a également acquis de l'expérience au Danemark.
Malgré son jeune âge, le travail acharné d'Antonia Fuglsang a été reconnu à maintes reprises. En 2019, elle a remporté le prix d'orchestre du concours de talent du Danemark du Sud, ce qui lui a permis de se produire en tant que soliste avec l'Orchestre symphonique d'Odense. Parmi ses succès récents figurent le prix de talent au "Concours de violon Jacob Gade 2022" et la troisième place au Concours danois de cordes.
Antonia Sayako Noda Fuglsang began her musical journey at the age of five. Under the guidance of Elisabeth La Cour and later Jette Jokumsen, she honed her musical talent.
Since 2020, the 17-year-old has been studying under Professor Mo Yi at the Det Jyske Musikkonservatorium in Aarhus, where she will also begin her Bachelor's degree in autumn 2022. Her musical career has already taken Antonia Fuglsang to international masterclasses, including the Austrian Masterclasses, as well as courses in Munich and Italy. She has also gained experience in Denmark.
Despite her young age, Antonia Fuglsang's hard work has been recognised on numerous occasions. In 2019, she won the orchestral prize in the Southern Denmark Talent Competition, which enabled her to perform as a soloist with the Odense Symphony Orchestra. Recent successes include the talent prize at the "Jacob Gade Violin Competition 2022" and third place at the Danish String Competition.
Recently nominated in the Instrumental Soloist Revelations category at the Victoires de la Musique awards, Nour Ayadi is radiant and remarkably simple.
She takes her musical talent to new heights.
She holds a Master's degree, awarded unanimously by the jury, and a doctorate in Performing Arts from the Paris Conservatoire. After obtaining her Master's degree as a soloist at the Haute Ecole de Musique in Geneva, she is currently artist-in-residence at the Chapelle Musicale Reine Elisabeth. The recipient of numerous prizes, she is in demand at many festivals and orchestras. Her first two CDs have been unanimously acclaimed.
And yet she holds a Master's degree in Public Policy from Sciences Po Paris!
A must-see!
Samuel Bismut is a pianist currently studying at the Paris Conservatoire in Denis Pascal's advanced class and in masterclasses with Lilya Zilberstein, Avedis Kouyoumdjian and Michel Beroff.
Regularly invited to perform his favourite repertoire in concert halls, he is particularly devoted to the music of Mozart, Schubert and Chopin, as well as the French piano repertoire of the 20th century. As far as Ravélien piano is concerned, "the young pianist certainly has something to say in this repertoire, where his chiselled playing is at the service of an assertive personality" (Hugues Rameau-Cray, Classique c'est Cool). In Debussy, meanwhile, we'll notice "the elegance of the artist's playing" and "the limpidity of his playing and colours" (Steve Boscardin in Res Musica).
He has performed at the Saint-Yrieix Festival, the Nancyphonies, the Salon de Provence Festival, the Pontoise Baroque Festival, the Haut Limousin Festival, the Musicales de Normandie, the Piano en Saintonge, the Harmonies du Perche and the Tons Voisins International Chamber Music Festival in Albi. He also forms a piano duo with his classmate Tom Carré. Both Schubertians and French piano enthusiasts, they are opening the 2023 season of the "Pianissimes" festival and taking part together in the "Piano en Seine" festival.
Samuel Bismut graduated from the Académie Ravel in 2021, and is also supported by the Académie de Villecroze. Noted for his interpretation of Schubert's sonata in C minor D958 during the semi-final of the Internationaler SchubertWettbewerb 2021, he is a prizewinner in several international competitions, including the Piano Campus competition and the prestigious Premio Jaén competition, where he was rewarded for his commitment to the Spanish repertoire, and in particular Isaac Albéniz's great "Iberia" cycle.
He has also been nominated as one of the "Talents Adami 2022" classical revelations.
Angel Yalachkov was born in Sofia, Bulgaria, in 2005. In 2023, he graduated from the Lyubomir Pipkov National School of Music in the piano class of Prof. Alexander Vassilenko. Alexander Vassilenko. He is currently a first-year student at the National Academy of Music "Prof. Pancho Vladigerov" in the piano class of prof. Borislava Taneva.
He has won over 40 prizes in international piano competitions in Bulgaria, Singapore, Russia, Italy, Belgium, Germany, Finland, Romania, Slovakia, Croatia, Greece, Serbia and Macedonia, including Grand Prix, 20 First Prizes and 15 Special Prizes.
He has received grants from: the Ministry of Culture as part of the "Protection of Children with Exceptional Talent" programme, the American Foundation for Bulgaria, the International Foundation of "St. Cyril and Methodius" and the National Fund for Culture - Prize for Achievements in the Arts and Culture.
In 2023, Angel Yalachkov won the Grand Prize in the "Poets of the Piano" competition and became the winner of the "Ventsislav Yankoff" scholarship.
He has performed at festivals in Bulgaria and abroad. He has also been a soloist with the Academic Symphony Orchestra of the "Prof. Pancho Vladigerov" National Academy of Music, the "Haskovo" Chamber Orchestra and the "Orphée" Chamber Orchestra. On several occasions, he has taken part in master classes with famous Bulgarian and foreign pianists and teachers.
How music travels, and in its journeys, changes, recognisable nonetheless by melody, harmony or even just the spirit. The music of Johann Sebastian Bach has this kind of power: in space and in time. Far beyond the religious Baroque age in which it was born, far from the harpsichord, chorales or organ for which it was composed, it can be reinvented. From the Goldberg Variations performed on piano by Glenn Gould (1955) to Wendy Carlos's Switched On Bach (1968), featuring preludes, fugues and cantatas played on a Moog synthesiser, countless musicians have made Bach a companion not only to their practice but also to their writing. Played with different sensibilities, in new sound worlds, transposed to other instruments, his monumental repertoire has found its way into twentieth-century music, both learned and popular.
In our twenty-first century, which is well under way, it still inspires the most contemporary creations: Bach Mirror, the second album by Vassilena Serafimova and Thomas Enhco, a suite of thirteen bursts all inspired by the music of the Central German composer, provides shimmering new proof of this.
She was born in Bulgaria in 1985, a remarkable percussionist and marimba player, and he was born in France three years later, a jazz pianist in search of freedom. Both were immersed in music from childhood, born of musician parents (percussionists and arrangers for her, classical musicians for him, before his mother married jazz violinist Didier Lockwood). Each of them experimented with all kinds of music: learned and popular, written and improvised. Each began with the violin and then found his own instrumental path: for him the piano, for her the marimba. She travelled and perfected her technique, which was increasingly noticed - she won numerous prizes at some of Europe's most prestigious festivals, including those in Munich and Stuttgart - and when she was spotted, she settled in France. He grew up listening to great jazz musicians, immersed as a child in the smoke and intensity of the clubs, released his first album at the age of 16 and quickly embarked on an international career. Two children of music, two travelling prodigies, both performers and composers, who were to meet one day in 2009, working together on a programme for a Concert de Poche, and never leave each other's side. The duo first proved themselves on stage and in the energy of live creations, where virtuosity rhymes with generosity, delighting audiences around the world. In 2016, they released their first album, Funambules (on Deutsche Grammophon). Mozart and Saint-Saëns revisited alongside their original compositions. Walking a tightrope, they reconcile musical centuries, the learned and the popular, fidelity and invention. Their duo has toured the world, winning the Second Grand Prize at the Osaka International Chamber Music Competition in Japan in 2017.
Three years later, Bach Mirror further strengthens the chemistry between the pianist and the marimbist.
This time it's the music of Johann Sebastian Bach that is at the heart of the inspiration. Omnipresent, obsessive, it is nevertheless approached with total freedom in each of these thirteen pieces, which are so many mirror games with the original compositions: shattered, inverted, troubled or multiplied reflections. In 'Avalanche', which opens the disc, we recognise the inspiration of Prelude No. 2 from Book 1 of the Well-Tempered Clavier, but in a multiplied form, in a seven-beat rhythm, the art of the fugue meets repetitive music, counterpoint meets the play of echoes. "Cantata" is born of the gentle aria "Sheep may safely gaze", but it moves away and closer, less childlike, less familiar, in a new shimmer. The Suite for Solo Cello No. 4 in E flat major, which inspired 'Silence', has not only been transposed to the piano: it has moved into an entirely different world, one familiar with Satie and Debussy, the art of sighing and the play of water. Enhco and Serafimova draw new creations from a motif, a harmony or a mood. Fire Dance borrows from a chorale by Jesu, Joy of Man's desiring, but invents a joyful dance in five beats, where stubborn ritornello and jazz variations come together in the most natural way. For these versatile musicians with a passion for percussion and syncopation, the music of Johann Sebastian Bach is not just counterpoint and architecture, it's a breath of rhythm: Bach Mirror, from start to finish, is carried along by lively, virtuoso and invigorating tempi. "Avalanche" is a veritable opening gallop for marimba and piano; "Sur la route" goes andante, "Chaconne" swirls: at the slightest opportunity, the round, warm yet clear sound of Vassilena Serafimova's mallets literally dances with Thomas Enhco's crystalline, voluble piano. As if painting miniatures - each track is fairly short, with only two exceeding 5 minutes - the musicians give life, light and precise, to clear motifs that become more complex without ever becoming abstruse, in an almost fractal pulsation. "Vortex", probably one of the most spectacular tracks on the album, written by both artists, takes this logic to its climax: the notes of the piano, now percussion, punctuate the twirling ascent of the marimba, which plays from its most muted to its most metallic tones. Staircases of increasingly psychedelic notes spiral downwards, with no echo effect added to the sound of the instruments. Even if the sensitive recording of the bass, often 'forgotten' in classical recordings, extends the register here, and gives this 'Vortex' all its depth. Here we are in another dimension, the one where they all meet: the discreet claps
The discreet claps evoke folklore, Thomas Enhco's piano the chord progression of A Love Supreme. When everything comes to a halt, almost by surprise, we remain suspended, a little dizzy on the edge of an abyss, far, very far from a simple tribute: the game and the pleasure have won.
Thomas Enhco and Vassilena Serafimova play like children. Their Bach Mirror makes Bach's music shimmer like jumping in puddles: for the pleasure of watching the clouds and sky change in the reflections. They play like virtuoso children, of course, savvy enough to give the illusion of insouciance, but rigorous enough, free enough, joyful enough to bring tears to their eyes at times. In the midst of these playful reflections, "Jesu, Joy of Man's desiring" is performed as it is: in these contemporary outbursts of ancient music, joy, for sure, remains.
Percussionist and marimba specialist Vassilena Serafimova was born in 1985 in Pleven, Bulgaria, where she grew up in a family of musicians. From an early age, Vassilena played in the Accent percussion ensemble formed by her parents. This gave her an early taste for the stage. In 2005, she continued her studies in France, first at the Conservatoire à rayonnement régional de Versailles and then at the Conservatoire national de musique de Paris (CNSM), before joining the Juilliard School in New York. From 2003 onwards, she won numerous prizes in international competitions, enabling her to develop her career worldwide. Highly committed to promoting the marimba, she has formed the duo Funambules with pianist Thomas Enhco since 2009.
Thomas Enhco was born in Paris in 1988. He grew up in a family of musicians: his mother Catherine Casadesus is an opera singer, his grandfather Jean-Claude Casadesus is a conductor, and his stepfather Didier Lockwood was a jazz violinist. Thomas began playing the violin at the age of 3, before moving on to the piano. At the age of 12, he joined the Centre des musiques Didier Lockwood, where he acquired a solid jazz training alongside musicians such as Mike Stern and Biréli Lagrène. At the age of 14, he continued his piano training with Gisèle Magnan, before entering the jazz class at the Paris Conservatoire in 2005. Involved in his international tours, notably with Didier Lockwood, he was unable to complete his studies at the CNSM, from which he was eventually expelled. He pursued a dual career as a jazz and classical pianist, collaborating with numerous conductors. In 2018, he performed his Concerto for piano and orchestra at the Philharmonie de Paris with the Orchestre de Cannes conducted by Benjamin Lévy. In addition to the duo he forms with Vassilena Serafimova, Thomas Enhco performs with his jazz trio or as a soloist.
Gaspard THOMAS graduated from the CNSMDP with a Master's degree in Piano, summa cum laude, in the class of Claire DÉSERT.
Born in 1997, Gaspard THOMAS has won numerous awards in international competitions, in particular the Szymanowski Competition in Katowice, Poland, in September 2023, where he was awarded Third Prize and two special prizes. He also won a First Prize at the 2019 France-Amériques Competition as well as a Second Prize and 7 Special Prizes at the 2019 Piano Campus Competition in Pontoise. He is also a laureate of the Académie Musicale Philippe Jaroussky, the Académie de Villecroze, the Banque Populaire and Safran foundations, and has been artist-in-residence at the Fondation Singer-Polignac since 2021.
Du 22 au 24 Novembre 2024
au Théâtre de Poissy